Entreprises et Douaisis

La vente en ligne pour tous !

Rencontre TIC du 27 mai
La vente en ligne : le e-commerce par l'exemple.

A l’occasion de la rencontre d’information et d’échange sur la vente en ligne du 27 mai dernier, j’ai tenu à rappeler aux nombreux porteurs de projet, créateurs, commerçants et industriels présents, que les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) étaient un facteur de croissance pour l’Entreprise et qu’un impact positif sur la compétitivité de notre territoire était en train de se révéler. Le maître mot de notre rencontre était alors d’investir dans cette nouvelle forme d’excellence.

L’intervention d’Olivier GUICHERD (dirigeant de la web Agency GOWEB à Roubaix) avait pour but de démystifier, par une approche basée sur l’exemple, ce qu’était le e-commerce et comment les entreprises pouvaient l’intégrer dans leur fonctionnement quotidien.

Une démarche e-commerce est une démarche d’entrepreneur avec les risques inhérents. Je tiens à encourager et soutenir les chefs d’entreprise dans cette action de connexion et d’informatisation permanente. Elle est nécessaire pour maintenir, développer et engager nos entreprises et notre territoire dans un développement économique résolument tourné vers l’innovation, capable ainsi d’élaborer de nouvelles stratégies économiques.

 

Douai Business school

« Le 17 Novembre, j’ai eu le plaisir de remettre leurs diplômes aux élèves de notre école supérieure de vente industrielle internationale, plus communément connue sous le nom de Douai Business School.

Il s’agit de la quinzième cérémonie organisée depuis la création de l’école en 1991 et de la septième où j’accueille chefs d’entreprise, étudiants et parents en tant que président de la CCI de Douai. Je prends personnellement toujours autant de plaisir à passer quelques moments avec ces jeunes futurs cadres à l’orée d’une carrière que l’on pressent passionnante.

Les entendre évoquer, même brièvement, leurs acquis pendant la scolarité est toujours rassurant, mais la vraie récompense, là où on perçoit que l’action de la CCI est vraiment en phase avec les besoins des entreprises est quand ils évoquent leur futur immédiat. Si quelques uns (rares) optent pour rester encore un peu dans le cocon douillet des études et si quelques autres s’avouent en recherche d’emploi, la plupart sont fiers d’annoncer qu’ils ont décroché leur « premier job », sans compter ceux qui, déjà en poste à l’étranger, ont envoyé un courriel pour saluer leurs condisciples et s’excuser de ne pas être présents à cette cérémonie.

Le Tribunal de Commerce de Douai renforcé

Le Premier ministre François Fillon et la Garde des Sceaux Rachida Dati l’ont annoncé à Lille le 12 octobre : si Douai, place judiciaire, n’obtient pas de pôle d’instruction pour l’instant, elle conserve un Tribunal de Grande instance à part entière et voit le ressort géographique de son Tribunal de Commerce élargi par regroupement des actuelles juridictions de Douai et Cambrai.

Le siège du Tribunal de Commerce de Douai – Cambrai sera à Douai.

Rappelons que le Tribunal de Commerce de Douai que nous connaissons aujourd’hui est relativement récent : il fut créé par décret daté du 22 juin 1988 avec le soutien des acteurs économiques du Douaisis parmi lesquels la CCI, les avocats … mais également avec celui des juridictions commerciales voisines de Cambrai, Arras et Valenciennes. En 2005, pour améliorer encore la qualité du service rendu aux entreprises justiciables du Douaisis, le nombre de juges passait de 8 à 11.

Le regroupement des Tribunaux de Commerce devra permettre de répondre aux objectifs de la réforme de la carte judiciaire :

- une spécialisation accrue face à un droit des procédures collectives de plus en plus technique
- la maîtrise d’un contentieux complexe
- le principe d’impartialité rendant exclusives l’une de l’autre les missions de prévention des difficultés et celles de leur traitement qu’un juge peut mener pour une même entreprise
- la proximité d’un parquet investi dans le suivi des procédures.

On peut enfin se féliciter que Douai maintienne sa position de place judiciaire de premier ordre. Reste à obtenir un pôle d’instruction pour Douai, lequel est appelé de leurs vœux par les élus et ne semble pas définitivement rejeté par la Garde des Sceaux (voir article de la voix du nord du 13 octobre).

La preuve par SEPT

En cette fin d'année 2007, les acteurs en charge du développement économique régional mettent la touche finale à un certain nombre de schémas régionaux : de l'Innovation, du Développement Durable, du Développement International, de la Formation, etc. qui viennent compléter (télescoper ?) ceux déjà existants tels le Schéma Régional de Développement Economique ou celui de l'Intelligence Economique, sans parler des interactions avec les Pôles de Compétitivité.

Afin de ne pas attraper le tournis à la lecture de tous ces documents fort bien argumentés par des spécialistes de chaque sujet, il faut réussir à garder une vision générale concrète de notre réalité économique locale et pour cela avoir une mesure précise et fiable de ses forces et ses faiblesses.

La CRCI Nord Pas-de-Calais propose un outil qui permet de réaliser cette mesure, en quelque sorte la preuve par SEPT, cet acronyme signifiant "Stratégie Economique pour les Territoires". Cette méthode permet de mesurer la performance des entreprises et de les classer dans des regroupements typologiques, les mêmes pour toutes les entreprises régionales. Pour le Douaisis, ce ne sont pas moins de 320 entreprises industrielles de tous secteurs employant plus de 5 salariés qui vont être évaluées. Le principe est simple : une batterie de 24 indicateurs dans 6 domaines est renseignée puis une note entre 0 et 4 est attribuée.

Par exemple, dans le domaine " clients et marchés", l'indicateur " portefeuille clients" est coté "0" si les trois plus gros clients réalisent ensemble plus de 50 % du chiffre d'affaires, si le nombre de clients potentiels est limité ou si les clients principaux ne se renouvellent pas. A l'autre bout de l'échelle, ce même indicateur sera coté "4" s'il n'y a pas de dépendance forte envers les principaux clients ou si le nombre de prospects est très important et réparti dans des secteurs différents. On comprend aisément que la deuxième situation est beaucoup moins risquée pour la pérennité de l'entreprise.

En final, SEPT a trois utilités.

Premièrement, affiner avec une méthode scientifique la cartographie locale en permettant de repérer des groupes homogènes d'entreprises avec des problématiques communes. Des actions collectives industrielles spécifiques peuvent ensuite être proposées.

Deuxièmement, permettre éventuellement de comparer la répartition typologique des territoires entre eux, en termes de proportion d'entreprises dans chaque type et des risques ou des avantages en découlant. Des stratégies territoriales peuvent ensuite en découler pour faire baisser ces risques ou renforcer encore des points forts.

Troisièmement, analyser l'emploi et la cohérence du territoire par rapport au marché du travail.

L'exploitation de ce panorama du territoire sera la base des actions proposées par l'agence territoriale douaisienne de la CCI Grand Lille. Je mettrai bien entendu à la disposition de nos partenaires territoriaux, en temps que de besoin, les éléments utiles à l'élaboration des stratégies territoriales.

La CCI Grand Lille fait la Foire

Comme chaque année, la foire de Douai constitue la rentrée économique du Douaisis. Fidèle à la tradition, j’y avais organisé la rencontre avec la CCI; cette année était particulière. En effet, j’avais invité Renée Ingelaere, Président de la CCI d'Armentières - Hazebrouck et Bruno Bonduelle, Président de la CCI de Lille Métropole, à venir vous expliquer avec moi combien la création, toute proche maintenant, de la CCI Grand Lille constituait une étape importante pour l’avenir économique du Douaisis. A croire que les décideurs économiques le pressentaient car ils étaient plus de 250 présents, le salon Marceline était trop petit !

Intervention de Jean-Claude STIEVENARD - Président de la CCI de Douai

Intervention de Renée INGELAERE - Président de la CCI d'Armentières - Hazebrouck

Intervention de Bruno BONDUELLE - Président de la CCI de Lille Métropole

Le Douaisis adopte l’échelle européenne

Le Douaisis va entamer une nouvelle ère qui pourrait s'appeler « renaissance phase II».
Ce mouvement incarnera le renouveau du Douaisis symbolisé par une dimension européenne, montante et nécessaire dans le contexte de mondialisation, et un développement à vocation durable de notre tissu économique.

Après la prospérité engendrée par les houillères et le déclin du charbon, un premier renouveau a été impulsé sous l'égide de l'Etat centralisateur par le biais de l'industrie automobile, alors synonyme de développements potentiels considérables. Tant l'exploitation charbonnière que l'Automobile ont apporté la prospérité et du travail aux populations, mais ont généré également un mode d'organisation rigide concentrique à des "cathédrales industrielles" et prisonnier de marchés non diversifiés.

Une nouvelle régénération doit être envisagée, reposant sur une nouvelle et plus large concertation des décideurs politiques et économiques.
Les gains immédiats de cette nouvelle logique d’acteurs peuvent rapidement déboucher sur l’apparition de nouvelles turbines économiques indispensables au renouvellement de notre économie. Dans le contexte de la globalisation, le "retour du renouveau", pour paraphraser le cinéma, ne pourra être qu'internationalisé.

Avec la CCI Grand Lille (rapprochement des CCI de Lille, Armentières Hazebrouck, Saint-Omer Saint-Pol et Douai représentant 43% de la population régionale, 48% des entreprises régionales, 88 millions d’euros de budget), nous avons la possibilité de passer à la vitesse supérieure à l’international, offrant ainsi une visibilité accrue de la "marque Douaisis" et facilitant sa promotion à l’échelle européenne. Positionner notre territoire dans cette nouvelle sphère économique doit nous permettre d’élargir nos réflexions stratégiques à l'échelle du formidable marché unique européen, nous donner les moyens d’attirer des ressources nouvelles et diversifiées capables de créer les emplois de demain.

International, compétence, créativité, liens avec nos écoles d'ingénieurs et nos universités doivent conduire le Grand Douaisis à augmenter la qualification de notre main d’œuvre. D’ailleurs, notre territoire doit saisir l’opportunité d’apporter aux grands aménagements métropolitains (Euralille, Haute borne, Eurasanté, Zone de l’union, Euratechnologie) un centre économique moteur complémentaire autour d’un pôle de développement dédié au Développement Durable.

Aujourd’hui, notre territoire s’organise ; la création de notre agence de développement des éco-entreprises devrait, dans l’idéal, évoluer vers une agence de Développement Durable accompagnée par la construction de parcs d’activités tertiaires, qualitatifs, spécialisés, proches des pôles urbains et pouvant être dédiés à la thématique Développement Durable (cf. Préconisations du Schéma de Cohérence Territorial du Grand Douaisis de Mai 2007, « les conséquences foncières de la stratégie de développement économique »).

Soyons lucide, le Douaisis est en pleine mutation. Une mobilisation générale est souhaitable afin d’éviter la banalisation de notre économie. Je suis prêt à œuvrer et soutenir les initiatives capables d’élever le niveau de production de biens et services de notre territoire pour présenter une image nouvelle et différenciée du Douaisis.

Tournons la page !

Ecrivons ensemble le chapitre 1 : "le Douaisis, laboratoire expérimental du Développement Durable de la CCI Grand Lille ?  "

Dynamique territoriale

Le Douaisis doit, comme les autres, s’adapter sans cesse à son environnement : le maintien de sa prospérité économique dépend de son attractivité, de la qualité et la compétence de sa population dont les entrepreneurs, corrélées à la qualité et la quantité de ses infrastructures, elles mêmes en lien avec ses possibilités financières qui dépendent de sa vitalité économique. Les causes et les effets s’enchaînent sans fin comme le bord de l’anneau de Moebius.

Piloter un territoire est ainsi une alchimie très délicate qui requiert la faculté d’intégrer toutes les variables pour consolider le présent et préparer l’avenir. L’exercice ne peut donc être solitaire et la mise à contribution de toutes les compétences est souhaitable.

La Communauté d’Agglomération du Douaisis (CAD) vient de décider, avec l’accord des trois autres membres fondateurs (Mines de Douai, Fac de Droit et CCI Douai) de renforcer le Douaisis Technopole Environnement en le transformant en Agence de Développement Environnementale.

La CAD vient également de mettre sur les rails un magnifique projet d’urbanisme responsable et écologique avec la zone du Raquet.

Une ZFU (Zone Franche Urbaine) vient de s’ouvrir, offrant de très bonnes opportunités à certains quartiers du territoire de rattraper leur retard.

Dans le même temps, la CCI Grand Lille commence à se dessiner, avec un Douaisis qui pourrait très bien devenir la vitrine « Développement Durable » de la nouvelle entité.

Enfin, trois axes de la politique territoriale de la CCI Grand Lille sont déjà identifiés et affirmés : aider les entreprises au recrutement, la formation et la gestion de leurs Ressources Humaines - favoriser la création l’implantation et le développement des entreprises sur le territoire - promouvoir le Développement Durable.

Beaucoup d’atouts se trouvent ainsi simultanément répartis dans les mains des différents acteurs ; à nous de les jouer intelligemment, en synergie.

Profitons du tropisme « Développement Durable » affiché à la fois par la CAD et la CCI Grand Lille pour transformer DTE en la première « Agence de Développement Durable » de la Région. Sa mission serait de détecter et d’attirer dans le Douaisis tous les projets économiques incluant les trois principes du Développement Durable : Respect de l’Environnement, Responsabilité Sociale et Sociétale, Viabilité économique. Une synergie pourrait se développer avec l’APIM, l’Agence chargée de la Promotion Internationale de la Métropole, par le truchement de la CCI grand Lille.

Regroupons nos forces pour mettre en place une véritable politique territoriale de gestion prévisionnelle des ressources humaines et de parcours professionnels durables.

Je suis prêt à mettre à disposition de toute initiative commune les moyens nécessaires à l’atteinte de ces objectifs.

Projet de canal Seine Nord Europe (suite)

Jean-Michel MIROIR, Directeur général Adjoint de la CCI de Douai me représentait mardi 10 juillet à Amiens. Voici ses notes.

« Mardi 10 juillet M Dominique BUSSEREAU, Secrétaire d’Etat au Transports a tenu à Amiens une réunion d’information sur le projet de canal Seine Nord Europe.

La commission d’enquête sur le projet de Déclaration d’Utilité Publique (DUP) de l’ouvrage a brièvement résumé le rapport de 1400 pages qu’elle a remis le 6 juillet au gouvernement.

L’enquête publique de 3 mois dans les 67 communes du tracé a permis de donner un avis favorable sous réserve d’étudier particulièrement les mesures de sécurité et de sureté pour prévenir les ruptures malveillantes ou accidentelles des 4 ponts canaux prévus sur le tracé.

(source VNF)

M BORDRY, président de Voies Navigables de France a répondu que cette précaution, inconnue il y a 50 ans, était maintenant prise en compte systématiquement (signe des temps) dans la conception des ouvrages. Il a confirmé le phasage prévisionnel : DUP par le Conseil d’Etat fin 2007 ; constitution du Partenariat Public Privé (PPP) en parallèle sur la base du rapport financier qui vient lui aussi d’être remis au gouvernement par les experts mandatés ; appels d’offres internationaux en 2008 - 2009 ; premiers coups de pioches début 2010 ; mise en service 2014/2015.

M BUSSEREAU a confirmé l’intention du gouvernement : « Nous allons le faire ! ». Il a réaffirmé que l’Etat seul n’aurait pas les moyens de financer cet ouvrage d’art et qu’il solliciterait la participation de toutes les parties intéressées.

(source VNF)

Les 4 plateformes multimodales sont parties intégrantes du projet car un canal sans quais n’a pas de sens économique pour les régions traversées. Leur implantation doit cependant se faire avec l’accord des communes. S’il y a des réticences (comme semble-t-il autour de Noyon), des changements de localisation sont toujours possibles. »

En ce qui concerne le Nord, mon précédent billet sur le Syndicat Mixte Marquion-Osartis démontre clairement que la plateforme multimodale est attendue avec impatience.

L'entrepreunariat

Un blog pour lancer des conversations, un blog pour rappeler qu’en cette période de renouvellement politique, il est de bon ton pour souligner la place de l’entrepreunariat dans le développement de nos sociétés modernes.

C’est justement le thème de la prochaine université des CCI « Vivre, c’est entreprendre », à laquelle je participe les 6 et 7 septembre prochain à Toulouse. Pourquoi vous solliciter avec autant d’avance ?

Pour porter haut et loin la voix de l’entreprenariat, récompenser la créativité, favoriser l’ouverture, valoriser l’esprit d’entreprendre, contribuer finalement à la croissance économique, à l’emploi et au développement local !

Pour ancrer nos talents sur notre territoire, nous avons, nous chefs d’entreprise, la volonté de nous détacher des paroles misérabilistes et défaitistes particulièrement présentes aujourd’hui. Faisons preuve d’invention et d’innovation pour conduire le changement car nous pouvons contribuer à ouvrir de nouveaux horizons et ainsi proposer aux générations futures, un projet de société capable de donner du sens aux actions de chacun.

Face à ce maelström sociétal, refuser le changement, ce n’est pas défendre la stabilité, c’est refuser la vie.

Projet de canal Seine Nord Europe

Le Syndicat Mixte Marquion-Osartis (SMMO) regroupant les communautés de communes de Marquion et Osartis a fait réaliser dans le cadre du Schéma de Cohérence Territorial (SCoT) une étude de définition d’aménagements d’espaces économiques sur son territoire.
Compte tenu du projet de raccordement du canal Seine Nord Europe au canal Dunkerque-Escaut sur le territoire de Marquion-Sauchy, un large volet a été consacré à cette zone.
Le SMMO a rendu compte de cette étude à Marquion le lundi 2 juillet dans un comité de pilotage élargi aux territoires et acteurs économiques voisins.

En l’état, le projet retenu comme hypothèse de développement est de 156 ha aménagés :

• 1000 m de quai
• une desserte ferroviaire vers Cambrai dans un premier temps puis extension vers Arras
• 66 ha de parc logistique
• 18 ha de parc d’activités diverses
• 52 ha de parc industriel et logistique embranché ferroviaire
• 20 ha de parc conteneurs polyvalent

Les impacts attendus sont considérables en terme d’emplois : les projections selon les ratios usuels sont de près de 2400 emplois directs en 2050.

Les financements nécessaires sont à la mesure de ces retombées : 82,7 M€ dont 29,3 M€ seront apportés dans le cadre du Partenariat Public Privé finançant la construction du canal et des quais.

Le terminal à conteneur, la zone portuaire et l’embranchement ferroviaire sont évalués à 53,7M€ dont le financement est à trouver.

A cette addition déjà corsée il faut rajouter toutes les infrastructures annexes, généralement à la charge des collectivités locales (giratoires, contournement de Marquion, voie ferrée Arras-Marquion-Cambrai,…) qui alourdiront la note de 243 M€.

Le SMMO ne pourra pas supporter seul un besoin de financement de 82,7 M€ : il pense proposer aux territoires voisins, dont le Douaisis, ainsi qu’aux acteurs économiques, dont les CCI voisines, de s’associer à lui pour investir et partager les retombées.

Saurons-nous oublier nos rivalités territoriales et saisir la main tendue ?