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12 juillet 2007

Commentaires

benoit

Le volet transfrontalier (Benelux) pourrait également apporter au Douaisis un nouvel espace de travail et de conquête. Peut-on envisager un douaisis durable sur une zone d'influence élargie ?

Réponse à Benoit - Jean-Claude STIEVENARD

La CCI de Douai entretient de longue date des relations épisodiques avec ses voisins belges.

On trouve notamment la trace dans nos archives de réunions de travail de mes prédécesseurs avec leurs homologues de la CCI de Tournai en 1989 et 1995.

Plus récemment, à plusieurs reprises depuis l'an 2000, des discussions approfondies ont eu lieu avec la CCI du Hainaut Occidental (issue de la fusion des CCI de Mouscron et de Tournai) à propos du projet de liaison autoroutière Douai-Orchies-Tournai.
Au sein de la Conférence Permanente des CCI Françaises et Belges, qui incluaient toutes les CCI frontalières du Nord à la Lorraine côté français, nous avons eu aussi l'occasion, jusqu'en 2004, de partager nos visions du développement économique avec nos voisins belges lors de colloques annuels.

Par ailleurs il existe depuis 1991 un Groupement Européen d'Intérêt Economique (GEIE) de droit belge (le siège est à Mouscron) dénommé Euro 6, regroupant les CCI d'Armentières, Lille, Ypres, Courtrai, Mouscron et Tournai. Par le jeu des fusions de CCI, ce GEIE comprendra fin 2007 3 CCI : Flandre Occidentale (West Vlaanderen), Hainaut Occidental et Grand Lille. Ce territoire est celui d'une grande métropole transfrontalière dans laquelle le Douaisis, jusque là relativement exclu, va désormais pleinement participer.

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